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Présentation

  • : Gauche Révolutionnaire Drôme Ardèche, section française du Comité pour une Internationale Ouvrière
  • : "Pour une société démocratique socialiste" La Gauche Révolutionnaire lutte pour un monde débarrassé de la misère et de l'exploitation. Un monde où l'économie sera organisée démocratiquement par les travailleurs eux-mêmes pour satisfaire les besoins de tous. Pour cela, il faut en finir avec le capitalisme et sa loi du profit. C'est par le socialisme, par une Révolution, par la planification démocratique de l'économie que pourra commencer à se mettre en place une société démocratique socialiste
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Citation

« Le prolétariat se servira de sa suprématie politique pour arracher petit à petit tout le capital à la bourgeoisie, pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l’Etat, c’est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante, et pour augmenter au plus vite la quantité des forces productives. [...] les antagonismes des classes une fois disparus dans le cours du développement, toute la production étant concentrée dans les mains des individus associés, alors le pouvoir public perd son caractère politique. Le pouvoir politique, à proprement parler, est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre. Si le prolétariat, dans sa lutte contre la bourgeoisie, se constitue forcément en classe, s’il s’érige par une révolution en classe dominante et, comme classe dominante, détruit par la violence l’ancien régime de production, il détruit, en même temps que ce régime de production, les conditions de l’antagonisme des classes, il détruit les classes en général et, par là même, sa propre domination comme classe.

A la place de l’ancienne société bourgeoise, avec ses classes et ses antagonismes de classes, surgit une association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous. »

marxMarx / Engels
Manifeste du parti communiste
1847
12 février 2011 6 12 /02 /février /2011 19:09
Contre Sarkozy et le capitalisme,
pour que le NPA soit un parti de lutte pour le socialisme

Contribution au débat et propositions de la Gauche révolutionnaire pour le congrès de du NPA de février 2011.

     Depuis l'annonce en Juin 2007 par la LCR de lancer un processus de création d'un nouveau parti anticapitaliste, la Gauche révolutionnaire a participé activement au lancement du NPA. Pour nous, il s’agit d’essayer de concrétiser un premier pas vers un nouveau parti de masse des travailleurs et des jeunes. Fondé il y a deux ans, le parti, auquel nous participons en tant que courant, a laissé s’accumuler un nombre de débats importants que le congrès ne permettra probablement pas de clarifier. Plusieurs orientations s’opposent. Il est improbable que l’une d’entre elles soit majoritaire, et les divergences qu’elles dévoilent devront continuer à être discutées pour permettre de tracer des perspectives plus précises pour le NPA.

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Que peut répondre le NPA dans la situation actuelle ?

    Après deux ans d'existence, le Nouveau parti anticapitaliste arrive à un moment crucial. Lors de sa fondation en février 2009, le NPA avait un potentiel important : grande popularité d’Olivier Besancenot, principal porte-parole, vague de grèves dans le secteur privé, rejet croissant du capitalisme du fait de la crise et des nombreuses mesures gouvernementales d’aide aux capitalistes, les seuls à ne pas payer la crise qu’ils ont pourtant largement contribué à déclencher. Près de 9000 personnes avaient adhéré au parti.
    Mais pour qu’un tel potentiel se réalise, le NPA devait devenir un lieu de débat régulier sur la situation politique, économique et sociale, un lieu d’élaboration d’une tactique et d’une stratégie pour les luttes, et pour construire une véritable alternative au capitalisme : le socialisme.
     Ça n'a pas été le cas. Le débat électoral a dominé ces deux années. Et le parti en tant que tel n'a pas saisi les luttes de 2009 pour se présenter comme l'outil politique pour traduire la colère montante contre Sarkozy et face à la crise. Alors que les classes dirigeantes et le patronat s'accordaient pour faire payer la crise aux travailleurs, que les plans de licenciements se succédaient, le NPA n'a pas mené une réelle campagne pour la défense de l'emploi, contre les licenciements, s'adressant à tous les travailleurs en lutte dans les entreprises, pour discuter de la nécessité de s'organiser et des stratégies pour les luttes. Face à chaque situation, le NPA a peu élaboré ses réponses et a souvent repris les positions de l’ex-LCR sans plus de débats. Les positions que l’on retrouve aujourd’hui dans les débats de congrès sont nées de cette situation. Elles traduisent des différences d'orientation importantes.
    Aujourd’hui, la majorité des travailleurs et des jeunes ne sont pas organisés. Ils ont pourtant massivement lutté ces dernières années contre les politiques capitalistes, contre la casse des acquis sociaux. Aujourd’hui, l'absence d'un parti des travailleurs pèse sur les luttes. Mais il y a un espace politique pour un NPA qui fait des propositions aux travailleurs en menant campagne sur ses bases et en développant le soutien aux luttes. En ayant la possibilité de s’organiser, les travailleurs et les jeunes les plus combatifs auraient plus confiance, seraient plus efficaces dans la construction de leur lutte et plus forts dans la bataille dans les syndicats pour une orientation combative. C’est à cette couche des travailleurs et des jeunes que ce nouveau parti doit s’adresser en priorité car il est évident que ce nouveau parti ne peut pas être un simple regroupement des forces politiques déjà existantes.
    Le NPA analyse justement le blocage des directions syndicales et la volonté grandissante des travailleurs et de jeunes de résister. Le NPA devrait mener et dire : c'est le moment de lancer le 2nd round et mener campagne pour une journée nationale de grève contre l'ensemble de la politique de Sarkozy pour renouer avec les mobilisations de l’automne. 
    La position 1, majoritaire, refuse d'orienter le parti dans ce sens. Elle propose ni plus ni moins de continuer. Son texte d’orientation ne consacre qu’une toute petite partie à la situation parmi les travailleurs. Alors qu’elle porte la responsabilité de cette situation, elle ne tire aucun bilan de cela. En fait, l’orientation proposée ne propose aucune priorité de construction et d’orientation, ce qui va faire que le parti va continuer à être une addition de campagnes diverses locales ou nationales sans lien clair entre elles.
    Les collectifs divers auxquels nous participons, et plus encore certaines alliances électorales que nous avons nouées localement depuis un an, ne sont pas un moyen plus rapide de politiser les plus radicaux. Bien au contraire. Faute de volonté de définir au préalable, les bases politiques claires sur lesquelles nous voulons mener les discussions et les campagnes de ces structures, le parti devient suiveur plutôt que force de proposition. Et quand vraiment le contenu n'est plus tenable, il y a rupture sans avoir fait avancer les débats..
    Ainsi la direction a décidé en janvier dernier de refuser de participer aux forums initiés par le Front de Gauche. Pourquoi ? Parce qu'il y a le PS. Cela aurait pourtant été l’occasion de défendre le programme du NPA auprès des militants de base du Front de Gauche, même si ces forums auront un impact et une importance limités.
    Et, pendant la période précédant les élections régionales, c’est cette même direction qui multipliait les rencontres avec les forces type Front de Gauche mais sans discuter du fond (sauf sur la question des exécutifs des Régions), et sans proposer des rencontre publiques ou des campagnes communes, pour décider ensuite que chaque région ferait à sa guise. Cette décision est difficilement compréhensible à une échelle large.  Pourtant, beaucoup de militants de gauche, de syndicalistes, de travailleurs estiment que nous sommes pas assez unis face à Sarkozy et au patronat. Le NPA n’y répond pas, ou seulement lors d’échéances électorales, avec des concessions programmatiques dangereuses faites au Front de gauche dans certaines régions. Par contre dès qu’il s’agit de luttes, le NPA continue d’en appeler à « toute la gauche », donc y compris le PS. Le problème n’est pas d’en appeler au PS en soit mais du contenu qu’on met. Le PS est un parti pro-capitaliste, même si son électorat reste formé avant tout de salariés. Ce doit être à ceux-ci que nous nous adressons en interpellant la direction du PS. Malheureusement, le NPA a parfois signé des appels allant dans l’autre sens, comme sur les Roms ou sur la Tunisie. Ce manque de clarté doit être combattu : on doit être pour l’unité mais sur des bases qui renforcent le camp des jeunes et des travailleurs. On devrait ainsi s’adresser plus souvent à la direction du Front de Gauche sur certaines luttes (licenciements, salaires, emploi, services publics…). De même, le NPA devrait se prononcer pour une journée nationale de grève et de manifestation contre la politique de Sarkozy pour renouer avec les mobilisations de l’automne.
    Le NPA a organisé le 11 décembre dernier une rencontre de travailleurs et jeunes qui a rassemblé 700 participants. Ceci a montré qu’il y a toujours un potentiel. Mais cette rencontre n’a débouché sur aucune proposition de campagnes. Alors même qu’il ne s’était pas préparé au mouvement de l’automne dernier, le NPA a vu une large majorité de ses militants aux premières lignes de la lutte contre la casse des retraites, l’occasion n’a pas été saisie de profiler le parti au moyen d’une large campagne sur la crise du capitalisme et le refus de la payer.
C'est l’intervention dans les luttes et son anticipation qui seront cruciales dans la période à venir pour pouvoir gagner le soutien des travailleurs et jeunes inorganisés à la recherche d’un outil pour défendre leurs intérêts, mais aussi pour gagner le soutien des travailleurs déjà organisés et plus expérimentés (syndicalistes, militants politiques et associatifs).
    Le bilan du NPA n’est pas que négatif car il a permis à de nouvelles personnes de militer, et à des courants politiques de travailler ensemble. Mais il y a toute une série de choses à corriger et débattre.

2) Le NPA parce qu'un
nouveau parti des travailleurs est nécessaire

     Le système capitaliste cherche toujours à se présenter comme le seul système économique viable, mais la situation internationale montre chaque jour le contraire. C’est en réalité un capitalisme fragilisé par ses contradictions qui s’illustre dans les guerres et les conflits, dans la misère grandissante parmi les 7 milliards d'êtres humains. Chacune des luttes sociales, chaque soulèvement, en Tunisie comme en Égypte, sont les conséquences directes des effets de la crise. Ils montrent l'impasse de ce système et exigent des anticapitalistes de porter l'alternative à une échelle beaucoup plus large. Les luttes en Tunisie et en Egypte ont mis le mot « révolution » à l’ordre du jour. Le NPA devrait s’en saisir, pas comme d’un mot d’ordre plaqué, mais en lui donnant un contenu socialiste.
    La révolution tunisienne ouvre une nouvelle période, et beaucoup disent qu’il faudrait faire comme en Tunisie pour faire dégager Sarkozy.
    Dans ce contexte de crise profonde du système, la concurrence entre impérialistes est accrue. L'Union européenne a bien du mal à maintenir un semblant d'unité économique, l'euro est menacé. Le départ de l'Allemagne ou de la Grèce de la zone euro ne sont pas totalement à écarter. Alors, il ne s’agit plus pour Sarkozy d’essayer de maintenir un rang mondial impossible à conserver mais de tout axer autour de quelques secteurs stratégiques, pour les intérêts de la haute bourgeoisie et des plus gros capitalistes français. Il sacrifie donc tout le reste afin de maintenir une dizaine de secteurs performants. Pour cela il est nécessaire d’accélérer les attaques contre les travailleurs et de détruire la santé ou encore l'éducation publiques.
    Pour maintenir les profits les capitalistes français doivent abaisser directement et indirectement le coût du travail, c'est-à-dire la part de la valeur créée par le travail de l’ouvrier que le patron lui concède. C’est le but de l’offensive générale du gouvernement et de la haute bourgeoisie : allonger la durée du temps de travail, maintenir la politique de bas salaires, remettre en cause tout ce qui garantissait encore quelques droits aux salariés à travers les cadres des conventions collectives ou des contrats, définis nationalement, accentuer la concurrence entre les travailleurs avec ou sans emploi.
    Cette politique de Sarkozy n’est pas liée qu’à une vision personnelle mais à une nécessité absolue du capitalisme français. Il n’y a pas de capitalisme amendable ou à visage humain. Aussi toutes les forces qui refusent de remettre en cause ce système visent donc de fait à servir cette politique. Le tout pour elles sera de placer un vernis plus ou moins opaque ou de placer quelques « mesurettes » pour faire baisser un peu la vapeur.
    Dès la campagne présidentielle on a pu constater que les programmes économiques du Ps et de l’UMP étaient proches. De plus en plus de travailleurs ont désormais conscience que le PS n’est plus directement dans leur camp. Strauss Kahn à la tête du FMI est le chef d'orchestre de l'austérité généralisée aux pays développés et de la misère dans les pays néo coloniaux pour maintenir les profits des capitalistes. Le PS, en tant que parti, est devenu un parti entièrement pro-capitaliste, un parti bourgeois qui ne défend plus les intérêts des travailleurs.
    Pour que cette société marche à l’endroit, c'est-à-dire pour les besoins de tous, c’est aux travailleurs de prendre les choses en mains. Les révolutions tunisienne égyptienne le montrent. Ce ne sont pas les entreprises qui créent les richesses mais les travailleurs qui y travaillent. Le programme du nouveau parti anticapitalistes doit montrer le rôle essentiel des travailleurs dans le fonctionnement du système capitaliste et les intérêts communs qu’ont tous les travailleurs. Le combat contre ce système qui n’apporte plus rien de bon durablement à la majorité des travailleurs et des jeunes doit être l’objectif du nouveau parti. La perspective du socialisme en alternative au capitalisme doit devenir une perspective crédible pour un nombre grandissant de travailleurs. La seule qui peut donner un avenir à l’humanité et à la planète. Dans notre matériel, publiquement, nous devons avancer la nécessité de cette alternative. Non pas de manière incantatoire, mais en s'appuyant sur des revendications transitoires, qui partent des conditions objectives et des préoccupations actuelles des travailleurs, sur l'emploi, le logement, les services publics, l'environnement.. pour mettre en avant la nécessité de rompre avec le capitalisme et construire le socialisme.

3- Quel fonctionnement pour quel nouveau parti?

     Le déclin numérique depuis la fondation est confirmé par la participation aux ag électives. La politique de la direction sortante ces deux dernières années n’a pas permis de comprendre les départs ni d'adopter une attitude offensive pour construire le parti. Cela limite du coup les débats et peut même faire courir le risque de les scléroser, en les tournant trop vers l’intérieur du parti et pas assez en lien avec les luttes, en confrontant ces diverses orientations, en en discutant démocratiquement et avec un maximum de travailleurs et de jeunes.
Le Conseil politique national (CPN, sa direction élue en congrès) n'a pas permis de laisser une large place aux débats, afin d’irriguer la vie politique du parti. En réalité, ceci ne s’est quasiment pas produit. Le mouvement ouvrier est pourtant assailli quotidiennement par les idées de la bourgeoisie, et il est traversé par différents courants. L'existence du NPA doit permettre de clarifier le programme et la méthode pour que les travailleurs renversent le capitalisme et réhabiliter les idées marxistes.
    Pourtant, il y a des débats dans le parti. Malheureusement, la tendance lourde est de les solutionner par des moyens organisationnels (pousser au départ des camarades comme ceux d'Avignon Nord, demander qu'un ensemble de militants ne soit pas considérés comme membres du parti...). Ceci montre la fragilité du parti et le manque de confiance dans sa politique.
    Le parti doit être attractif et rassembler des jeunes et des travailleurs qui veulent se battre contre le capitalisme et les attaques du gouvernement, sans critères de vêtement, de conviction religieuse ou philosophique. Il doit se fixer l’objectif d’être à l’image de la classe des travailleurs et de la jeunesse aujourd’hui. Un des enjeux est de s’adresser aux jeunes et aux travailleurs qui ne sont pas organisés et de les convaincre de le faire. Il y a de nombreux niveaux de conscience, beaucoup sont encore bas. Mais le parti peut s'adresser à une couche large sur ses propres bases. Pour cela, il faut construire le NPA comme un outil permettant de défendre les intérêts de la classe ouvrière, d’organiser les jeunes et les travailleurs dans la lutte contre la politique du gouvernement et contre le capitalisme.
Il est donc important que son fonctionnement soit réellement démocratique afin de permettre à tous ces nouveaux militants de s’impliquer dans la vie de ce nouveau parti, de participer à l’élaboration de son programme politique, de discuter de son orientation dans les luttes, de prendre des responsabilités.

    Il est probable que le NPA va voir coexister les différentes orientations quels que soient les scores du congrès. Il faudra alors continuer les débats, de manière ouverte et fraternelle, afin de ne pas faire du parti un champ de bataille qui risquerait de se transformer en champ de ruines.
    Le courant Gauche révolutionnaire (qui regroupe les membres en France du Comité pour une Internationale Ouvrière, CIO/CWI, internationale socialiste révolutionnaire présente dans 47 pays) participe depuis le début à la position 2 (ex B). Mais aucun débat ne doit rester cantonné à une position. En tant que courant socialiste révolutionnaire, nous défendons que le NPA se fixe pour ambition de contribuer à l’émergence d’un parti de masse des travailleurs et de la jeunesse pour renverser le capitalisme et construire le socialisme.

- Contre les plans du gouvernement : défense des services publics, refus des privatisations, des suppressions de postes, de la casse des retraites…
- Pour une lutte collective contre les licenciements, les fermetures d’usine. Zéro licenciement, nationalisation sous le contrôle des travailleurs des entreprises qui font des plans de licenciements
- Pour une hausse immédiate des salaires : soutien et aide aux grèves pour les augmentations de salaire, Le NPA se prononce pour une augmentation de 300 euros des salaires et le smic à 1500 euros, l'indexation complète des salaires sur la hausse des prix
- Assez de la spéculation et de l'exploitation, augmentation des cotisations "patronales", arrêt des exonération de ces cotisations. ouverture des livres de compte, nationalisation des banques et organisme de crédit, des assurances.. Pour la nationalisation sous le contrôle démocratique des travailleurs des principaux secteurs de l'économie
- Pour un véritable emploi pour tous et toutes, avec un vrai salaire, pour la défense de la durée hebdomadaire du temps de travail et la réduction de celui-ci jusqu'à disparition du chômage
- Pour une journée nationale de grève privé/public, invitant la jeunesse, les chômeurs, les retraités à s'y joindre sur leurs propres revendications
- Pour un logement décent pour tous et toutes, des services publics gratuits sous le contrôle démocratique des travailleurs. Eau, énergie etc. doivent être publics.
- Contre les discriminations et les oppressions (racisme, sexisme, homophobie…), pour les mêmes droits démocratiques pour tous, notamment la régularisation des travailleurs sans papiers et de leur famille.
- Contre les institutions impérialistes et leurs politiques guerrières : contre l'Union européenne, l'Onu, l'Otan, OMC, FMI, BM etc. Troupes impérialistes hors des pays qu'elles occupent. Pour une Europe, un monde, socialistes et démocratiques, où l'économie sera organisée et planifiée de manière démocratique. Cela permetta ainsi d'en finir avec le gâchis capitaliste, les menaces sur l'environnement, la faim dans le monde, les guerres, la misère... 
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  Le capitalisme est un système mondial et il doit être combattu à la même échelle. C'est pourquoi la Gauche révolutionnaire fait partie d'une organisation marxiste internationale: le Comité pour une Internationale Ouvrière (CIO), un parti mondial actif sur tous les continents. Notre lutte en France s'inscrit dans le cadre d'une lutte des travailleurs du monde entier pour un société socialiste car si la révolution socialiste éclate sur le plan national, elle se termine sur l'arène internationale. La démocratie ouvrière et la planification socialiste de la production ne peuvent se limiter à un seul pays. C'est d'ailleurs l'isolement de la Russie soviétique qui a conduit à sa dégénérescence à partir de 1924.

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